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Dans mon travail auprès des enfants, j'utilise des outils spécifiques : le jeu, le dessin et, plus généralement, l’imaginaire.

En effet, rares sont les enfants qui vont pouvoir s’asseoir et parler de leurs difficultés pendant 45 minutes comme pourrait le faire un adulte.

Leurs inquiétudes, leurs questionnements vont s’exprimer autrement : à travers des personnages, des scénarios imaginaires etc.

Utiliser le jeu, c’est donc chercher à parler le même langage que l’enfant pour mieux le comprendre et mieux l’aider à dépasser ses difficultés.

Quand consulter?

 

Il est parfois difficile de faire la différence entre une difficulté passagère qui ne nécessite pas de soutien particulier et un problème  plus grave.

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Les premiers signes de souffrance chez l’enfant ou l’adolescent peuvent être anodins (difficultés pour s’endormir, colères…) ou plus inquiétants (troubles de l’alimentation, repli, agitation ou violence à l’école). 

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D’une manière générale, on estime qu’il faut être vigilant lorsqu’une difficulté perdure malgré vos tentatives pour tenter d’aider l’enfant à la surmonter.

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Pourquoi ?

 

  • Difficultés scolaires:

anxiété, trouble scolaire anxieux troubles des apprentissages

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  • troubles du comportement: agitation, hyperactivté, tdah, comportement oppositionnel, agressivité

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  • troubles de l’humeur: 

dépression infantile, tristesse, deuil, problèmes émotionnels, régulation des émotions

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  • Difficultés familiales:

Deuil, séparation, familles recomposées, difficultés relationnelles (avec les parents ou dans la fratrie)

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  • Difficultés relationnelles: 

anxiété de séparation, difficultés à rester seul, phobie sociale

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  • Autre:

problèmes autour de la propreté (énurésie, encoprésie) ou autour de la nourriture.

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